Bonjour tout le monde 🙂 J’espère que tout va bien de votre côté. Aujourd’hui je vais vous donner une astuce pour calmer votre cerveau quand il est vraiment trop hyperactif.
Je vous avais déjà parlé de ces gens qui « pensent trop » dans cet article. Ou du fait que la respiration pouvait calmer votre tête aussi.
Il y a quelques jours, ces astuces ne marchaient pas pour moi, alors je suis partie sur autre chose… Du coup je me suis dit que ce serait bien de partager ça avec vous, au cas où vous rencontriez ce cas de figure.
La problématique
J’ai coutume de comparer mon cerveau à une machine à laver… Il y a le programme normal où tout se passe comme prévu… Puis le moment où la machine commence à aller un peu trop vite et à secouer les murs. Dans la métaphore, c’est le moment où on pense de trop. Et pour la dernière étape, que j’ai vu de mes propres yeux (voilà d’où vient ma métaphore), le moment où la machine secoue tellement qu’elle finit par avancer (ou presque).
Une machine à laver secoue tellement fort qu’il y a un parpaing à l’intérieur pour la lester… Mais visiblement, le lest de ma machine n’était plus tout neuf… C’est le moment où le cerveau finit par dérailler, aller beaucoup plus vite, au point qu’il soit impossible de rester concentrer sur quoi que ce soit. Pour mon cas, cela se manifeste même au niveau oculaire. Je finis par avoir des saccades au niveau du regard, et ne pouvoir le fixer.
Une idée pour essayer de calmer le jeu
Pour cette idée je pars du principe que si quelque chose ne marche pas, autant se concentrer sur quelque chose qui marche.
Imaginez quelque chose, une histoire, un film, la suite de cet épisode de série que vous attendez. Quelque chose d’attrayant, sur lequel vous avez envie de réfléchir.
Oui je sais, ce n’est pas logique parce que si vous n’arrivez pas à vous concentrer dans ce cas, pourquoi essayer de vous concentrer ?
Et pourtant c’est une façon de rediriger toute cette énergie mentale sur quelque chose. Avec un peu de chance, cela va donner envie à votre cerveau de se concentrer dessus… Et vous pourrez alors le laisser se défouler. Puis de le ralentir une fois qu’il s’est bien fatigué. Il vous suffira de penser plus lentement.
Et vous pourrez sortir de votre imaginaire et retourner à vos activités.
